[-18][PUBLIC AVERTI] Partie de chasse... {En Cours}

Je la sens qui revient... Oui. Cette puissance qui monte dans tout mon être. Elle me transcende, me transforme. Je l'accueil avec un plaisir non feint. Elle m'envahi, me consume. Je deviens prédateur.

Mon matériel est prêt, comme à mon habitude. La rage a envahi tout mon être. Je me sens serein. Je monte dans mon véhicule, en quête d'une proie potentielle qui ravira mes appétits de torture, de sang et de violence. J'erre comme cela, avec ma voiture, dans les rues de ma ville ; arpentant les quartiers les plus pauvres commes les havres de paix des plus riches ; des heures durant. Et puis, j'ai un éclair, une pulsion. Ma proie est là ! Toute proche. Je gare mon pickup sur la première place venue et me met en quête de la proie que va satisfaire mes faims malsaines.
Elle est en vue, juste un peu plus loin sur le trottoir. 20 ans, les cheveux noirs flottant au vent qui souffle - vous savez, ce vent si particulier qui annonce le danger . - habillée simplement d'une petite robe rouge, contrastant avec son teint halé et ses yeux marron. Elle avance d'une démarche gracieuse qui ravit mes yeux de bête assoiffée de sang.

La chasse commence !
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Voilou !

Correction du Cerf divin :

 

pret : prêt
en quète : en quête
une prois : proie
J'ère : j'erre
la : là
Je garre : gare
une démarche gracieuse qui ravi : ravit

La chasse commence !

Je la suis durant une bonne partie de la journée... savourant ces instants ou, insouciante, ma proie ne se doute pas du sort qui l'attend. Elle agit tranquillement, comme si de rien n'était alors que je boue d'impatience, imaginant les tourments que je lui ferais subir...

Elle finit par prendre le chemin de sa douillette demeure tandis que la nuit tombe. Celle-ci renforce mes sens animal et je me prépare à l'assaut. Il sera soudain et dévastateur, comme je les aiment. Ma proie rentre dans sa maison, il est temps de passer à l'action. Je sors tranquillement de ma voiture et traverse la rue calme d'un pas rapide. Je me colle contre la porte de la maison, les sens en alerte à l'affut du moindre bruit et du moindre mouvement à l'intérieur de la bâtisse. J'aperçois l'ombre de la jeune femme qui se découpe près d'une fenêtre. Qu'elle est belle, ses courbes sont magnifiques. Mon instinct se renforce et ma vision se teinte de rouge sang. Je tourne la poignée fermement et tir la porte d'un coup sec; Je rentre prestement dans la demeure, je contrôle ma proie... Mon entrée n'a pas éveillée son attention, je peux continuer tranquillement mon avancée dans cette maison aux couleurs vives et à la lumière tamisée... Une belle maison pour cette délicieuse jeune femme. Je passe ma langue sur mes lèvres sèches, je pourrais bientôt gouter sa peau...

Je poursuis mon avancée dans la maison en prenant garde de rester silencieux et hors de vue de ma victime. Celle-ci agit toujours avec insouciance et confiance comme si rien ne pouvait lui arriver... je m'en réjouit d'avance et imagine avec délice son air apeuré quand je vais lui tomber dessus. Elle est de dos, à l'autre bout de la cuisine; Je me tiens dans l'embrasure de la porte, mon fil de pêche à la main. Je m'approche lentement, savourant chaque moment de cette avancée vers ma récompense après cette traque qui aura duré une bonne semaine. Je suis maintenant juste derrière elle. Le temps semble suspendu. Elle vient de se rendre compte que quelque chose ne va pas... Dommage pour elle, il est trop tard. Mon fil est pressé contre sa gorge et je la plaque solidement contre le plan de travail de sa cuisine. Elle tente de se débattre, sentant l'air lui manquer, mais elle n'a aucune chance, je ne relâcherai pas ma prise. L'adrénaline irrigue maintenant tout mon être et je me sens puissant et invincible. Ma victime perd connaissance. Je relâche la pression avant que celle-ci ne meurt, ce serait vraiment dommage, j'ai une montagne de projets pour cette jeune et charmante jeune femme.

Je la laisse tomber au sol. Je sors une grande couverture sombre de mon sac à dos et y emballe mon précieux butin. Dix minutes plus tard, celui-ci est à l'abris dans le coffre de ma voiture et je rentre chez moi, pressé de continuer mon jeu.